Villa des orangers

Un Bleu Klein parisien.
Et puis un jaune amricain la Newman.
Une touche de vert la Chagall vu depuis une fentre sur l'le de Brhat.
C'est trange de retrouver naturellement ces couleurs tout au long d'une vie.
Puis d'une autre...
Le temps passe, les sicles laissent leurs tmoignages et les hommes voyagent. Pour des femmes et des ides, pour l'art et la beaut.
Pour Claudia et Maria-Maddalena, la rencontre qui bouleversera leurs vies se fera aussi autour de l'art.
Claudia est conservatrice et restauratrice d'art au muse des Offices. Elle travaille sur une toile du peintre anglais prraphalite, Anthony Frederick Sandys.
Maria-Maddalena est une descendante de ce peintre.
Dans un camaeu riche de sentiments, de petites touches de couleurs en aplats magistraux, les deux femmes nouent une amiti hors norme dans la belle Toscane de la Villa des Orangers.
De l, de verres de gin en clats de rire, de larmes en souvenirs, elles voyageront pour des hommes, pour l'art et la beaut.
Maria-Maddalena, dans une phase dpressive inconsciente va puiser en Claudia son lan de vie et son aptitude au bonheur. Quant Claudia, que dire de cette femme, sinon, qu'elle est elle-mme une invitation au voyage ?
Ce livre parle d'art, d'art de vivre et de bien vivre. Il parle aussi d'amour, de tolrance et de fraternit.
C'est un livre hdoniste, un livre qui prend son temps, une sorte d'hymne la vie...